Il y aurait une énergie électrostatique abondante et gratuite dans l'atmosphère qu'il serait possible de récupérer !
Note de la rédaction d'OpDis : L'électricité atmosphérique décrite par Robert A. Nelson comme une méthode alternative pour produire de l'énergie propre et renouvelable d'une manière industrielle au lieu du charbon et du pétrole polluants comme combustible pour produire de l'énergie pour les villes où nous vivons.
Les éclairs lancés sur nous par des dieux en colère démontrent amplement l'abondance d'énergie latente dans le ciel.
La foudre a également initié les humains au feu.
Le légendaire vol de cerf-volant de Benjamin Franklin lors d'un orage en 1752 marque le début de nos tentatives prométhéennes pour tirer de l'énergie de l'énergie électrostatique atmosphérique (ES).
Des progrès considérables ont été réalisés depuis lors, et la production industrielle d'énergie électrique à partir du ciel est un fait accompli depuis le début des années 1900.
La technologie prometteuse est toutefois tombée en sommeil après la Première Guerre mondiale, et elle a dormi depuis lors.
L'électricité atmosphérique offre plusieurs avantages par rapport aux autres sources d'énergie ; la technologie est simple et robuste, coûte moins cher que l'énergie éolienne ou solaire, et elle est disponible n'importe où et n'importe quand.
La Terre est un générateur électrostatique - l'atmosphère est chargée positivement par rapport à la Terre polarisée négativement.
Le système génère environ 3 x 10 ^ -16 Ampères/cm². (1500 Ampères pour la Terre entière).
Andor Palenscar :
L'appareil "Apparatus for Collecting Atmospheric Electricity" d'Andor Palenscar comprenait un nouveau moteur pour utiliser l'énergie ES, décrite dans le brevet américain US67444427, accordé en 1901 :
Walter Pennock :
Walter Pennock a mis au point un capteur d'énergie aérien, pour lequel il a obtenu les brevets américains US911260 en 1909 et US1014719 en 1912.
Jules Guillot :
Le siphon électrique atmosphérique inventé par Jules Guillot dans les années 1920 produisait environ 2,5-3 kilowatts avec une hauteur d'antenne de ~ 20 mètres.
La puissance dépend de la surface totale du collecteur et de la hauteur de l'antenne verticale.
Un appareil de table avec seulement un collecteur de 2 mètres de haut produit ~300 watts.
La grande promesse de l'appareil de Guillot a été rapportée dans The Invention Encyclopedia (1930, sous la direction de l'éminent ingénieur George Constantinescu) :
"La capture de l'électricité de l'atmosphère a été utilisée en France, avec des câbles aériens montés sur le Mont Blanc, et aussi en Allemagne --- avec des câbles conducteurs transportés par les ballons captifs.
"Le système de collecte de l'électricité de l'atmosphère inventé par eng. Jules Guillot est le plus ingénieux et il s'appuie sur "le siphon électrique".
Sa méthode consistait à "pomper" directement l'électricité de l'atmosphère à l'aide d'un dispositif collecteur à deux antennes et plusieurs barres collectrices.
"Une antenne est verticale et elle a beaucoup de tiges éparpillées comme un ventilateur ouvert, avec les pointes contre le zénith, pour collecter l'électricité négative qui vient de l'air ; l'antenne horizontale est orientée contre le Sud et son rôle est de collecter l'électricité positive :
"Guillot utilisait deux armatures séparées et isolées avec l'armature positive contre le Sud (, plus précisément, contre l'Equateur...) et l'armature négative contre le zénith....
Aussi, J. Guillot a utilisé un transformateur électrique pour l'utilisation industrielle de ce collecteur comme alimentation électrique pour les moteurs électriques industriels."
Les siphons électriques produisent un champ magnétique et absorbent l'électricité aérienne.
Une bobine d'induction Ruhmkorff est utilisée pour mettre le système en marche.
Guillot a reçu trois brevets français pour ses "Appareils de captage des courants électriques atmosphériques avec mise en œuvre immédiate" (FR551882, FR565395, et FR551882)
Hermann Plauson :
L'Estonien Hermann Plauson a été directeur des laboratoires Fischer-Tropsch à Hambourg, en Allemagne pendant les années 1910 et 1920.
Il a étudié en profondeur l'électricité atmosphérique et construit des appareils pratiques pour l'utiliser.
Son livre "Gewinnung und Verwertung der Atmosphärischen Elektrizität" (1920) explique en détail cette technologie.
Hugo Gernsbach présente l'invention dans le magazine Science & Invention (mars 1922, juin 1928).
Il a noté que le système était "en fait utilisé de petites centrales électriques, qui produisent de l'électricité directement à partir de l'air, jour et nuit, sans interruption et pratiquement sans frais, une fois l'installation construite".
"Herr Plauson a découvert dans ses expériences qu'un seul ballon envoyé à une hauteur de 300 mètres donnait un courant constant à 400 volts de 1,8 ampère, soit en 24 heures sur 17-1/4 kilowatts !
En utilisant deux ballons en combinaison avec une batterie spéciale à condensateur, la puissance obtenue était de 81-1/2 kilowatts en 24 heures.
Le courant réel fourni était de 6,8 ampères à 500 volts.
"Les meilleurs ballons... sont faits d'une mince feuille d'aluminium remplie d'hélium...
La surface est parsemée d'épingles affûtées électrolytiquement amalgamées avec du zinc, et d'une pincée de sel de radium pour ioniser davantage l'air.
En dotant le ballon d'un amalgame photoélectrique de zinc ou de polonium, la quantité d'électricité peut être considérablement augmentée."
Cent ballons, espacés de 100 mètres, généreront au moins 200 chevaux-vapeur, jusqu'à 400 en hiver.
Plauson a utilisé des batteries de condensateurs et de transformateurs haute tension pour allumer des lampes, faire fonctionner des moteurs, charger des batteries, etc.
Il a également inventé un transformateur électrostatique rotatif pour produire du courant alternatif.
Le système aspire littéralement l'électricité des ballons collecteurs.
Les ballons servent également de parafoudres et déchargent rapidement les nuages d'orage.
"Il ne fait aucun doute que cette invention sera bientôt universellement utilisée dans le monde entier.
Nous verrons les terres parsemées de ballons captifs, en particulier dans le pays et partout où l'énergie hydraulique n'est pas abondante.
En effet, le temps n'est pas lointain où la quasi-totalité de notre pouvoir proviendra de l'atmosphère.
Jusqu'à présent, il semble qu'il s'agisse de la forme d'énergie la moins chère connue.... extraire en toute sécurité plusieurs kilowatts d'énergie électrique de l'atmosphère avec des ballons à surface métallique, élevés à une hauteur de seulement 300 mètres.
"Les brevets allemands montrent l'utilisation d'un ballon cerf-volant auquel est suspendu un filet métallique pour collecter l'électricité.
Le câble d'ancrage mène à un guindeau.
Les brevets revendiquent qu'à une hauteur d'un mile 225.000 volts seront disponibles.
Plauson a proposé la construction de tours isolées d'environ 300 mètres de haut pour supporter les antennes....
Il a effectué des expériences avec un ballon en feuille d'aluminium avec des aiguilles collectrices de zinc amalgamé avec une préparation de radium comme ioniseur.
La surface du ballon a été saupoudrée d'amalgame de zinc.
Il a été envoyé jusqu'à une hauteur de 300 mètres, au début de 300 mètres, et a été tenu par un fil d'acier cuivré.
Un courant constant de 1,8 ampère à une différence de potentiel moyenne de 400 volts a été obtenu.
Cela donnait près des trois quarts d'un kilowatt, soit près d'un cheval-vapeur.
Le collecteur du ballon isolé de la terre montrait une tension de 42.000 volts.
En envoyant un deuxième ballon avec une antenne à la même hauteur à une distance de 100 mètres du premier ballon, on obtient un courant de plus de 3 ampères.
Puis en mettant dans le circuit un gros condensateur, dont la capacité était égale à la capacité de surface des deux ballons, et des connexions d'antenne, le courant est passé à 6,8 ampères avec une tension moyenne d'environ 500 volts. Grâce à l'utilisation de ces deux ballons, il a finalement augmenté la puissance à 3,4 kilowatts."
Plauson a également construit un puissant prototype à l'échelle industrielle de son collectionneur dans les Alpes entre deux sommets, comme illustré :
Il a reçu plusieurs brevets : US1540998 (Conversion de l'électricité atmosphérique), BP157262 (Amélioration des moteurs électriques), BP157263 (Procédé et appareil pour convertir l'énergie électrique atmosphérique statique en énergie électrique dynamique), etc.
Il y a eu peu de progrès dans ce domaine de recherche depuis lors.
Depuis 1997, Meridian International Research mène des expériences pour convertir l'énergie ES atmosphérique en énergie utilisable, développant ainsi les idées de Plauson, Oleg Jefimenko et autres.
Leur site Web (qui n'a pas été mis à jour depuis 2005) indique : "A partir d'une antenne simple en zinc de bas niveau (5m de haut), nous sommes capables d'obtenir une charge suffisante pour éclairer un certain nombre de LED blanches de puissance.
D'autres recherches expérimentales avec des collecteurs d'aérosats métalliques et des concepts d'antennes à ondes lentes résonantes à cavité sont en cours..."
Ndlr : Un paratonnerre pourrait servir à récupérer les ions positifs de l'atmosphère, et la prise de terre dans le sol faire le côté négatif du circuit !
Jules Guillot et Hermann Plauson ont prouvé que nous pouvons générer des niveaux industriels de puissance à partir de l'énergie ES atmosphérique, et Meridian International Research a montré que les LED peuvent être éclairées par une petite antenne.
Quelque part entre les deux extrêmes, il y a beaucoup d'argent à se faire....
A propos de l'auteur : Robert A. Nelson est un décrocheur de 10e année qui n'a pas de titres de compétences. Il a fondé Rex Research en 1982 pour archiver l'information sur les technologies, les sciences, les inventions, les thérapies, les inventions, les thérapies et d'autres sujets supprimés, en sommeil ou émergents. Il persiste....
Source :
https://operationdisclosure1.blogspot.com/2019/05/the-next-bigly-thing-power-from-air.html
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